En France, les sites ne sont pas destinés à devenir des « sanctuaires de la nature » où les activités humaines seraient proscrites. La protection de la biodiversité dans ces espaces doit en effet intégrer les intérêts de chacun aussi bien que ceux de la collectivité.
Tous impliqués
Afin que les partenaires s’approprient les enjeux de Natura 2000, et à travers ceux-ci les enjeux de biodiversité et de développement durable des territoires, la France a fait le choix de la concertation : citoyens, élus, agriculteurs, forestiers, chasseurs, pêcheurs, propriétaires terriens, associations, usagers et experts sont associés à la gestion de chaque site.